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Notes sur le tag : jacques prevel

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Dernières notes

COLETTE THOMAS

  Colette Thomas dont la figure est à jamais associée aux derniers jours d' Antonin Artaud a refermé son ombrelle. Son nom (celle d'une fille de coeur) vient se graver auprès de Genica Athanasiou, Anie Besnard, Cécile Schrammer, Jany de Ruy, Paule Thévenin, Marthe Robert . Anges de "la chasteté qui conserve l'âme". Sans doute Colette Thomas nous a le plus ému qui glissa...

Publié le 03/09/2010 dans GUY DAROL... par WG | Lire la suite...

GERARD MORDILLAT ❘ POUR UN CINEMA INCONFORTABLE

    En 1993, Gérard Mordillat réalise En compagnie d'Antonin Artaud à la suite de   Toujours seuls qui ne rencontra pas son public. Dans un entretien filmé, il examine le cinéma actuel et ses déferlantes d'images neuroleptiques. Mordillat plaide pour un cinéma inconfortable, un cinéma qui exprime les incohérences du réel. Le regard qu'il porte sur...

Publié le 04/10/2009 dans GUY DAROL... par WG | Lire la suite...

ANTONIN ARTAUD ❘ FLORENCE DE MEREDIEU

La somme de biographies et d’évocations d’Antonin Artaud est aujourd’hui considérable. Après avoir lu les œuvres disponibles du poète, j’ai commencé à m’intéresser aux approches puis aux explorations chronologiques. Cela débuta avec la monographie de Georges Charbonnier (1). Vinrent ensuite le Portrait d’Antonin Artaud que traça Otto Hahn(2) pour le compte des éditions Le...

Publié le 01/01/2007 dans GUY DAROL... par WG | Lire la suite...

ANTONIN ARTAUD

      Bien que l'examen clinique de l'oeuvre d'Antonin Artaud m'ait toujours bubonné (exception faite d' Antonin Artaud, le théâtre et le retour aux sources, une étude de Monique Borie qui serre le texte sans préjugés), les deux films de Gérard Mordillat et Jérôme Prieur diffusés en 1993 constituent, selon moi, le sommet phosphorescent de ce que peut-être...

Publié le 03/07/2006 dans GUY DAROL... par WG | Lire la suite...

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